Sylvie Martin Thérapeute, coach
Quand la dépendance au jeu devient un enfer?
La dépendance au jeu parle de vide intérieur, de solitude, de honte, de mal-être profond etc.
La dépendance au jeu n’est pas qu’un problème comportemental mais bien une alarme qui annonce un mal être profond. Lorsque la dépendance au jeu se manifeste dans notre vie, c’est qu’il y a un besoin de combler une absence d’amour et de reconnaissance. Cette dépendance nous pousse à vouloir prouver que nous existons, que nous pouvons réussir là où les autres ont échoué.
Le jeu devient l’enjeu de notre existence. Le besoin de prouver en punissant les autres, en se vengeant inconsciemment de leurs manques d’intérêt pour nous, en liquidant tout ce qui pourrait nous servir à construire concrètement, en s’isolant, convaincus que le seul plaisir possible est de rester dépendants au jeu… de notre enfance envolée trop vite et qui devient un cercle sans issue.
La dépendance au jeu se guérit par l’amour, par des marques d’attention et d’intérêt pour celui qui reste dépendant des jeux de l’enfant blessé, qui désire exprimer ses «mal-être», ses manques, son vide profond.
La dépendance au jeu devient le signal qui annonce un besoin pressant de mieux se connaître afin de combler ce vide intérieur.
Madame Agathe Raymond, coach de vie, vous propose d’aller à la connaissance de soi en retraçant les peurs, les manques, et les causes de ce besoin de reconnaissance et d’amour. Par une approche psychosociale et très personnalisée à vos besoins, madame Agathe Raymond met à votre disposition son expérience et sa disponibilité à vous aider à trouver pourquoi la dépendance au jeu devient un enjeu de l’existence.
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